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      April 2019

      Comment installer Nginx sur Ubuntu 18.04


      Introduction

      Nginx est l’un des serveurs web les plus populaires au monde, il est aussi responsable d’héberger certains des sites les plus gros et les plus visités d’internet. Dans la plupart des cas, il utilise moins de ressources qu’Apache et peut être utilisé en tant que serveur web ou proxy inverse.

      Dans ce guide, nous discuterons de la manière d’installer Nginx sur votre serveur Ubuntu 18.04.

      Prérequis

      Avant que vous ne débutiez ce guide, vous devriez avoir configuré sur votre serveur, un utilisateur régulier, qui n’est pas un utilisateur root, mais qui a des privilèges sudo. Vous pouvez apprendre comment configurer un profil d’utilisateur régulier en suivant notre « Guide de configuration initiale du serveur Ubuntu 18.04» initial server setup guide for Ubuntu 18.04.
      Lorsque vous avez un profil de disponible, connectez-vous en tant qu’utilisateur régulier (et non en tant qu’utilisateur root) pour débuter.

      Étape 1 — Installer Nginx

      Comme Nginx est disponible dans les répertoires par défaut de Ubuntu, il est possible de l’installer à partir de ceux-ci en utilisant l’outil de paquetage avancé apt[APT packaging system].
      Comme c’est notre première interaction avec l’outil de paquetage ‘apt’ sur cette session, nous allons mettre à jour notre index de paquet local pour avoir accès aux plus récents. Ensuite, nous pourrons installer Nginx:

      • sudo apt update
      • sudo apt install nginx

      Après avoir accepté la procédure, apt installera Nginx et tous ses prérequis à votre serveur.

      Étape 2 — Ajustement du pare-feu

      Avant d’essayer Nginx, le logiciel pare-feu doit être ajusté pour laisser l’accès au service. Nginx s’enregistrera en tant que service avec ufw au moment de l’installation, ce qui lui simplifie l’accès.
      Pour une liste complète des configurations que ufw sait utiliser, entrer :

      Vous devriez avoir une liste des profils d’application :

      Output

      Available applications: (applications disponibles) Nginx Full Nginx HTTP Nginx HTTPS OpenSSH

      Comme vous pouvez le voir, il y a trois profils disponibles pour Nginx :

      • Nginx Full: Ce profil ouvre à la fois le port 80 (normal, trafic internet non-encrypté) et le port 443 (trafic internet encrypté par TLS/SSL)
      • Nginx HTTP: Ce profil ouvre seulement le port 80 (normal, trafic internet non-encrypté)
        • Nginx HTTPS:Ce profil ouvre seulement le port 443 (trafic internet encrypté par TLS/SSL)
          Il es recommandé que vous choisissiez le profil le plus restrictif qui vous permettra tout de même le trafic que vous avez configuré. Comme nous n’avons pas encore configuré SSL pour nos serveurs dans ce guide, nous n’aurons qu’à donner l’accès au trafic sur le port 80.
          Vous pouvez le faire en entrant :
          command
          sudo ufw allow 'Nginx HTTP'

          Vous pouvez vérifier le changement en entrant :
          command
          sudo ufw status

      Vous devriez voir le trafic internet HTTP permis sous le format d’affichage:

      Output

      Status: active To Action From -- ------ ---- OpenSSH ALLOW Anywhere Nginx HTTP ALLOW Anywhere OpenSSH (v6) ALLOW Anywhere (v6) Nginx HTTP (v6) ALLOW Anywhere (v6)

      Étape 3 — Vérification de votre serveur web

      À la fin du processus d’installation, Ubuntu 18.04 lance Nginx. Le serveur web devrait déjà être opérationnel.
      Nous pouvons vérifier avec le system init systemd pour nous assurer du bon fonctionnement en entrant :

      Output

      ● nginx.service - A high performance web server and a reverse proxy server Loaded: loaded (/lib/systemd/system/nginx.service; enabled; vendor preset: enabled) Active: active (running) since Fri 2018-04-20 16:08:19 UTC; 3 days ago Docs: man:nginx(8) Main PID: 2369 (nginx) Tasks: 2 (limit: 1153) CGroup: /system.slice/nginx.service ├─2369 nginx: master process /usr/sbin/nginx -g daemon on; master_process on; └─2380 nginx: worker process

      Comme vous pouvez le voir plus haut, le service semble avoir démarré avec succès. Cependant, le meilleur moyen de faire la vérification est de concrètement requêter une page à Nginx.
      Vous pouvez accéder la page d’accueil par défaut de Nginx pour confirmer que le logiciel opère sans problèmes en naviguant vers l’adresse IP de votre serveur. Si vous ne connaissez pas l’adresse IP de votre serveur, il y a différentes méthodes pour l’obtenir.
      Essayez d’entrer ceci dans votre utilitaire de commande :

      • ip addr show eth0 | grep inet | awk '{ print $2; }' | sed 's//.*$//'

      Vous aurez une réponse de quelques lignes. Vous pouvez essayer dans chacun de vos navigateurs pour voir s’ils fonctionnent.
      Une alternative est d’entrer ceci, qui devrait vous fournir votre adresse IP publique tel que vu d’un emplacement différent de l’internet :

      Quand vous avez l’adresse IP de votre serveur, entrer la dans la barre de recherche de votre navigateur :

      http://your_server_ip 
      

      Vous devriez voir la page d’accueil par défaut de Nginx :
      Nginx default page
      Cette page est incluse avec Nginx pour démontrer que le serveur fonctionne correctement.

      Étape 4 — Gestion des procédés Nginx

      Maintenant que votre serveur web est opérationnel, revoyons quelques commandes de gestion de base.
      Pour arrêter votre serveur web, entrez :

      • sudo systemctl stop nginx

      Pour démarrer votre serveur web lorsqu’il est arrêté, entrez :

      • sudo systemctl start nginx

      Pour arrêter, puis redémarrer le service, entrez :

      • sudo systemctl restart nginx

      Si vous apportez seulement des modifications de configuration, Nginx peu souvent redémarrer sans interrompre la connexion. Pour ce faire, entrez :

      • sudo systemctl reload nginx

      Par défaut, Nginx est configuré pour démarrer automatiquement quant le serveur s’allume. Si ce n’est pas ce que vous voulez, vous pouvez désactiver ce comportement en entrant :

      • sudo systemctl disable nginx

      Pour réactiver le démarrage automatique, vous pouvez entrer :

      • sudo systemctl enable nginx

      Étape 5 — Configuration des blocs de serveur (Recommandé)

      Lorsque vous utilisez le serveur web Nginx, server blocks (semblable à «hôte virtuel» dans Apache) peut être utilisé pour encapsuler des détails de configuration afin d’être hôte à plus d’un serveur. Nous allons mettre en place un domaine appelé example.com mais vous devriez remplacer ceci par votre propre nom de domaine. Pour en savoir plus à propos de la procédure de mise en place d’un tel serveur avec DigitalOcean, veuillez voir Introduction à DigitalOcean DNS Introduction to DigitalOcean DNS.
      Nginx sur Ubuntu 18.04 a un bloc de serveur d’actif par défaut qui est configuré pour desservir des documents à partir d’un répertoire a /var/www/html. Malgré que ceci fonctionne bien pour un site unique, il pourrait vite devenir lourd si vous hébergez de multiples sites. Au lieu de modifier /var/www/html, créons une structure de répertoire à l’intérieur de /var/www/html pour notre site example.com, ce qui laissera /var/www/html en place comme le répertoire par défaut à être desservi si la requête d’un client ne correspond à aucuns autres sites.
      Créez le répertoire pour example.com comme suit, en utilisant -p pour créer n’importes quels autres répertoires apparentés :

      • sudo mkdir -p /var/www/example.com/html

      Ensuite, attribuez les droits de propriétaire du répertoire avec l’environnement variable $USER :

      • sudo chown -R $USER:$USER /var/www/example.com/html

      Les permissions devrait être correctes si vous n’avez pas modifié votre valeur `umask', mais vous pouvez vous en assurer en entrant :

      • sudo chmod -R 755 /var/www/example.com

      Ensuite, créez un échantillon de page index.html en utilisant nano sur votre éditeur préféré :

      • nano /var/www/example.com/html/index.html

      À l’intérieur, entrez l’échantillon HTML suivant :

      /var/www/example.com/html/index.html

       <html> 
      <head> 
      <title>Welcome to Example.com!</title> 
      </head> 
      <body> 
      <h1>Success! The example.com server block is working!</h1> 
      </body> 
      </html> 
      

      Sauvegardez et fermez le fichier lorsque vous avez terminé.
      Afin que Nginx desserve ce contenu, il est nécessaire de créer un bloc serveur avec les bonnes directives. Au lieu de modifier le fichier de configuration par défaut directement, faites-en un nouveau a /etc/nginx/sites-available/example.com:

      • sudo nano /etc/nginx/sites-available/example.com

      Coller le bloc de configuration suivant, qui est similaire à celui par défaut, mais mis à jour pour notre nouveau répertoire et nom de domaine :

      /etc/nginx/sites-available/example.com

       server { 
      listen 80; 
      listen [::]:80; 
      root /var/www/example.com/html; 
      index index.html index.htm index.nginx-debian.html; 
      server_name example.com www.example.com; 
      location / { 
      try_files $uri $uri/ =404; 
      } 
      } 
      

      Veuillez noter que nous avons fait la mise à jour la configuration root de notre nouveau répertoire et le server_name de notre nom de domaine.
      Pour poursuivre, activons le fichier en créant un lien vers celui-ci dans le répertoire sites-enabled, que Nginx lit au démarrage :

      • sudo ln -s /etc/nginx/sites-available/example.com /etc/nginx/sites-enabled/

      Deux blocs serveurs sont maintenant activés et configurés pour répondre aux requêtes en se basant sur leurs directives listen et server_name (vous pouvez en lire davantage sur la manière dont Nginx procède ces directives ici here):

      • example.com: Répondra aux requêtes pour example.com et www.example.com.
      • default: Répondra à n’importe quelle sur le port 80 qui ne correspond pas aux deux autres blocs.
        Pour éviter un problème avec la mémoire de hachage qui pourrait survenir lors de l’ajout de nom de serveur additionnels, il est nécessaire d’ajuster une seule valeur dans le fichier /etc/nginx/nginx.conf . Ouvrez le fichier :
        command
        sudo nano /etc/nginx/nginx.conf

        Trouvez la directive server_names_hash_bucket_size et enlevez le symbole # pour décommenter la ligne :

        [label /etc/nginx/nginx.conf]
        ...
        http {
        ...
        server_names_hash_bucket_size 64;
        ...
        }
        ...

        Ensuite, faite la vérification pour pour vous assurer qu’il n’y a pas d’erreurs de syntaxe dans vos fichiers Nginx :
        command
        sudo nginx -t

        Enregistrez et fermez le fichier lorsque vous avez terminé.
        S’il n’y a pas de problèmes, redémarrez Nginx pour activer vos changements :
        command
        sudo systemctl restart nginx

        Nginx devrait maintenant desservir votre nom de domaine. Vous pouvez vérifier ceci en naviguant à http://example.com, ou vous verrez quelque chose comme ceci :
        Nginx first server block

      Étape 6 — Se familiariser avec les fichiers et répertoires importants de Nginx

      Maintenant que vous savez comment gérer le service Nginx, vous devriez prendre quelques minutes pour vous familiariser avec quelques fichiers et répertoires importants.

      Contenu

      • /var/www/html: Le contenu web qui, par défaut est seulement la page d’accueil de Nginx que vous avez vu plus tôt, est desservi à travers le répertoire /var/www/html . Ceci peut être changé en modifiant les fichiers de configuration de Nginx.

      Configuration du serveur

      • /etc/nginx: Le répertoire de configuration de Niginx. Tous les fichiers de configuration y résident.
      • /etc/nginx/nginx.conf: Le fichier de configuration principal de Nginx. Il peut être modifié pour apporter des changements globaux à la configuration de Nginx.
      • /etc/nginx/sites-available/: Le répertoire ou tous les blocs serveurs, propres à chaque site, peuvent être stockés. Nginx n’utilisera pas les fichiers de configuration qui s’y trouve à moins qu’ils ne soit liés à un répertoire sites-enabled. Typiquement, toutes les configurations de blocs serveurs sont faites à partir de ce répertoire, puis activé en les liants à d’autres répertoires.
      • /etc/nginx/sites-enabled/: Le répertoire ou les blocs serveurs (par site) activés sont stockés. Typiquement, la création se fait en les liants à des fichiers de configuration qui se retrouvent dans le répertoire sites-available.
      • /etc/nginx/snippets: Ce répertoire contient des fragments de configuration qui peuvent être inclus ailleurs dans la configuration de Nginx. Les segments qui ont le potentiel de se répéter sont des candidats parfaits pour les remoduler en extraits [snippets].

      Journal du serveur

      • /var/log/nginx/access.log: Toutes les requêtes faites à votre serveur web sont enregistrées dans ce journal à moins d’avoir configuré Nginx autrement.
      • /var/log/nginx/error.log: Toute erreur qui survient dans Nginx sera enregistrée dans ce journal.

      Conclusion

      Maintenant que vous avez un serveur web d’installé, vous avez plusieurs options pour le type de contenu à desservir et les technologies que vous voulez utiliser pour créer une expérience plus riche.
      Si vous aimeriez construire une suite d’application plus complète, consultez cette article : Comment configurer une suite LEMP sur Ubuntu 18.04.



      Source link

      So installieren und verwenden Sie Docker auf Ubuntu 18.04


      Eine Vorgängerversion dieses Tutorials wurde von finid verfasst.

      Einführung

      Docker ist eine Applikation, die den Verwaltungsvorgang von Applikationsprozessen in Containern vereinfacht. Mit Containern können Sie Ihre Anwendungen in ressourcenisolierten Prozessen ausführen. Container ähneln virtuellen Maschinen, sind jedoch portabler, ressourcenschonender und stärker vom Host-Betriebssystem abhängig.

      Eine detaillierte Einführung in die verschiedenen Komponenten eines Docker-Containers finden Sie im Docker-Ökosystem: Eine Einführung in die gängigen Komponenten.

      In diesem Tutorial installieren und verwenden Sie die Docker Gemeinschaftsedition (CE) auf Ubuntu 18.04. Sie installieren Docker selbst, arbeiten mit Containern und Bildern und verschieben ein Bild in ein Docker-Repository.

      Voraussetzungen

      Um diesem Tutorial folgen zu können, benötigen Sie Folgendes:

      • Ein Ubuntu 18.04-Server, der gemäß dem Installationshandbuch von Ubuntu 18.04 eingerichtet wurde, einschließlich eines nicht root-basierten sudo-Benutzers und einer Firewall.
      • Ein Benutzerkonto auf Docker Hub, wenn Sie Ihre eigenen Bilder erstellen und auf Docker Hub verschieben möchten, wie in Schritt 7 und 8 dargestellt wird.

      Schritt 1 — Docker installieren

      Das im offiziellen Ubuntu-Repository verfügbare Docker-Installationspaket ist möglicherweise nicht die neueste Version. Um sicherzugehen, dass wir die neueste Version erhalten, installieren wir Docker aus dem offiziellen Docker-Repository. Dazu fügen wir eine neue Paketquelle und den GPG-Schlüssel von Docker hinzu, um sicherzustellen, dass die Downloads gültig sind, woraufhin wir das Paket installieren.

      Aktualisieren Sie zunächst Ihre vorhandene Paketliste:

      Als nächstes installieren Sie ein paar Voraussetzungpakete, mit denen apt Pakete über HTTPS verwenden kann:

      • sudo apt install apt-transport-https ca-certificates curl software-properties-common

      Fügen Sie dann den GPG-Schlüssel für das offizielle Docker-Repository zu Ihrem System hinzu:

      • curl -fsSL https://download.docker.com/linux/ubuntu/gpg | sudo apt-key add -

      Fügen Sie das Docker-Repository zu den APT-Quellen hinzu:

      • sudo add-apt-repository "deb [arch=amd64] https://download.docker.com/linux/ubuntu bionic stable"

      Aktualisieren Sie anschließend die Paketdatenbank mit den Docker-Paketen aus dem neu hinzugefügten Repo:

      Stellen Sie sicher, dass Sie die Installation aus dem Docker-Repo statt aus dem standardmäßigen Ubuntu-Repo durchführen:

      • apt-cache policy docker-ce

      Sie werden die folgende Meldung sehen, obwohl die Versionsnummer für Docker unterschiedlich sein kann:

      Output of apt-cache policy docker-ce

      docker-ce:
        Installed: (none)
        Candidate: 18.03.1~ce~3-0~ubuntu
        Version table:
           18.03.1~ce~3-0~ubuntu 500
              500 https://download.docker.com/linux/ubuntu bionic/stable amd64 Packages
      

      Beachten Sie, dass docker-ce nicht installiert ist, aber der Installationskandidat aus dem Docker-Repository für Ubuntu 18.04 (bionic) stammt.

      Installieren Sie schließlich den Docker:

      • sudo apt install docker-ce

      Docker sollte nun installiert, der Daemon sowie der Prozess beim Booten gestartet werden. Überprüfen Sie, ob es funktioniert:

      • sudo systemctl status docker

      Die Meldung sollte wie folgt aussehen und zeigen, dass der Dienst aktiv ist und läuft:

      Output

      ● docker.service - Docker Application Container Engine Loaded: loaded (/lib/systemd/system/docker.service; enabled; vendor preset: enabled) Active: active (running) since Thu 2018-07-05 15:08:39 UTC; 2min 55s ago Docs: https://docs.docker.com Main PID: 10096 (dockerd) Tasks: 16 CGroup: /system.slice/docker.service ├─10096 /usr/bin/dockerd -H fd:// └─10113 docker-containerd --config /var/run/docker/containerd/containerd.toml

      Die Installation von Docker gibt Ihnen nun nicht nur den Docker-Dienst (Daemon), sondern auch das docker -Befehlszeilenprogramm oder den Docker-Client. Später in diesem Tutorial untersuchen wir, wie der docker -Befehl angewandt wird.

      Schritt 2 — Ausführen des Docker-Befehls ohne Sudo (optional)

      Standardmäßig kann der docker -Befehl nur für den Root-Benutzer oder von einem Benutzer der Docker-Gruppe ausgeführt werden, die während des Installationsprozesses von Docker automatisch erstellt wird. Wenn Sie versuchen, den docker -Befehl auszuführen, ohne ihn mit sudo voranzustellen oder in der Docker-Gruppe zu sein, erhalten Sie folgende Meldung:

      Output

      docker: Cannot connect to the Docker daemon. Is the docker daemon running on this host?. See 'docker run --help'.

      Wenn die Eingabe von sudo bei jeder Ausführung des docker -Befehls vermieden werden soll, fügen Sie Ihren Benutzernamen zur docker -Gruppe hinzu:

      • sudo usermod -aG docker ${USER}

      Um die neue Gruppenzugehörigkeit anzuwenden, melden Sie sich vom Server ab und wieder an, oder geben Sie Folgendes ein:

      Zum Fortfahren werden Sie aufgefordert, das Passwort Ihres Benutzers einzugeben.

      Bestätigen Sie, dass Ihr Benutzer der Docker-Gruppe hinzugefügt wurde, indem Sie folgendes tippen:

      Output

      sammy sudo docker

      Wenn Sie einen Benutzer zur docker -Gruppe hinzufügen möchten, mit dem Sie nicht angemeldet sind, geben Sie diesen Benutzernamen explizit mit an:

      • sudo usermod -aG docker username

      Der Rest dieses Artikels geht davon aus, dass Sie den docker -Befehl als Benutzer in der Docker-Gruppe ausführen. Wenn Sie sich dagegen entscheiden, fügen Sie die Befehle bitte mit sudo durch.

      Als nächstes erkunden wir den docker -Befehl.

      Schritt 3 — Verwendung des Docker-Befehls

      Die Verwendung des docker besteht darin, ihm eine Reihe von Optionen und Befehlen mit anschließender Argumentation zu übermitteln. Die Syntax hat folgende Form:

      • docker [option] [command] [arguments]

      Zum Anzeigen aller verfügbaren Unterbefehle, geben Sie Folgendes ein:

      Ab Docker 18 enthält die vollständige Liste der verfügbaren Unterbefehle:

      Output

      attach Attach local standard input, output, and error streams to a running container build Build an image from a Dockerfile commit Create a new image from a container's changes cp Copy files/folders between a container and the local filesystem create Create a new container diff Inspect changes to files or directories on a container's filesystem events Get real time events from the server exec Run a command in a running container export Export a container's filesystem as a tar archive history Show the history of an image images List images import Import the contents from a tarball to create a filesystem image info Display system-wide information inspect Return low-level information on Docker objects kill Kill one or more running containers load Load an image from a tar archive or STDIN login Log in to a Docker registry logout Log out from a Docker registry logs Fetch the logs of a container pause Pause all processes within one or more containers port List port mappings or a specific mapping for the container ps List containers pull Pull an image or a repository from a registry push Push an image or a repository to a registry rename Rename a container restart Restart one or more containers rm Remove one or more containers rmi Remove one or more images run Run a command in a new container save Save one or more images to a tar archive (streamed to STDOUT by default) search Search the Docker Hub for images start Start one or more stopped containers stats Display a live stream of container(s) resource usage statistics stop Stop one or more running containers tag Create a tag TARGET_IMAGE that refers to SOURCE_IMAGE top Display the running processes of a container unpause Unpause all processes within one or more containers update Update configuration of one or more containers version Show the Docker version information wait Block until one or more containers stop, then print their exit codes

      Für die Anzeige verfügbarer Optionen eines bestimmten Befehls, geben Sie Folgendes ein:

      • docker docker-subcommand --help

      Um systemweite Informationen über Docker anzuzeigen, verwenden Sie:

      Untersuchen wir einige dieser Befehle. Wir beginnen mit der Bildarbeit.

      Schritt 4 — Arbeiten mit Docker-Bildern

      Docker-Container werden aus Docker-Bildern erstellt. Standardmäßig bezieht Docker diese Bilder aus dem Docker Hub, einem Docker-Verzeichnis, das von Docker, der Firma hinter dem Docker-Projekt, verwaltet wird. Jeder kann seine Docker-Bilder auf dem Docker Hub hosten, so dass die meisten Applikationen und Linux-Distributionen, die Sie benötigen, über Bilder verfügen, die dort bereitgestellt werden.

      Um zu überprüfen, ob Sie auf Bilder vom Docker Hub zugreifen und sie herunterladen können, geben Sie Folgendes ein:

      Die Meldung zeigt an, dass Docker korrekt funktioniert:

      Output

      Unable to find image 'hello-world:latest' locally latest: Pulling from library/hello-world 9bb5a5d4561a: Pull complete Digest: sha256:3e1764d0f546ceac4565547df2ac4907fe46f007ea229fd7ef2718514bcec35d Status: Downloaded newer image for hello-world:latest Hello from Docker! This message shows that your installation appears to be working correctly. ...

      Docker konnte das hello-world -Bild zunächst nicht lokalisieren, so dass es das Bild vom Docker Hub, dem Standard-Repository, heruntergeladen hat. Nach dem Herunterladen des Bildes, erstellte Docker einen Container aus dem Bild und der Applikation innerhalb des ausgeführten Containers, der die Nachricht anzeigt.

      Sie können nach Bildern suchen, die auf dem Docker Hub verfügbar sind, indem Sie den docker -Befehl mit dem Unterbefehl search verwenden. Geben Sie beispielsweise für die Suche nach dem Ubuntu-Bild folgendes ein:

      Das Skript durchsucht den Docker Hub und gibt eine Liste aller Bilder zurück, deren Name mit dem Suchbegriff übereinstimmt. In diesem Fall sieht die Meldung wie folgt aus:

      Output

      NAME DESCRIPTION STARS OFFICIAL AUTOMATED ubuntu Ubuntu is a Debian-based Linux operating sys… 7917 [OK] dorowu/ubuntu-desktop-lxde-vnc Ubuntu with openssh-server and NoVNC 193 [OK] rastasheep/ubuntu-sshd Dockerized SSH service, built on top of offi… 156 [OK] ansible/ubuntu14.04-ansible Ubuntu 14.04 LTS with ansible 93 [OK] ubuntu-upstart Upstart is an event-based replacement for th… 87 [OK] neurodebian NeuroDebian provides neuroscience research s… 50 [OK] ubuntu-debootstrap debootstrap --variant=minbase --components=m… 38 [OK] 1and1internet/ubuntu-16-nginx-php-phpmyadmin-mysql-5 ubuntu-16-nginx-php-phpmyadmin-mysql-5 36 [OK] nuagebec/ubuntu Simple always updated Ubuntu docker images w… 23 [OK] tutum/ubuntu Simple Ubuntu docker images with SSH access 18 i386/ubuntu Ubuntu is a Debian-based Linux operating sys… 13 ppc64le/ubuntu Ubuntu is a Debian-based Linux operating sys… 12 1and1internet/ubuntu-16-apache-php-7.0 ubuntu-16-apache-php-7.0 10 [OK] 1and1internet/ubuntu-16-nginx-php-phpmyadmin-mariadb-10 ubuntu-16-nginx-php-phpmyadmin-mariadb-10 6 [OK] eclipse/ubuntu_jdk8 Ubuntu, JDK8, Maven 3, git, curl, nmap, mc, … 6 [OK] codenvy/ubuntu_jdk8 Ubuntu, JDK8, Maven 3, git, curl, nmap, mc, … 4 [OK] darksheer/ubuntu Base Ubuntu Image -- Updated hourly 4 [OK] 1and1internet/ubuntu-16-apache ubuntu-16-apache 3 [OK] 1and1internet/ubuntu-16-nginx-php-5.6-wordpress-4 ubuntu-16-nginx-php-5.6-wordpress-4 3 [OK] 1and1internet/ubuntu-16-sshd ubuntu-16-sshd 1 [OK] pivotaldata/ubuntu A quick freshening-up of the base Ubuntu doc… 1 1and1internet/ubuntu-16-healthcheck ubuntu-16-healthcheck 0 [OK] pivotaldata/ubuntu-gpdb-dev Ubuntu images for GPDB development 0 smartentry/ubuntu ubuntu with smartentry 0 [OK] ossobv/ubuntu ...

      In der Spalte OFFICIAL kennzeichnet OK ein Bild, das von dem Unternehmen hinter dem Projekt erstellt und unterstützt wird. Sobald Sie das Bild identifiziert haben, das Sie verwenden möchten, können Sie es mit dem Unterbefehl pull auf Ihren Computer herunterladen.

      Führen Sie den folgenden Befehl aus, um das offizielle ubuntu-Bild auf Ihren Computer herunterzuladen:

      Sie sehen folgende Meldung:

      Output

      Using default tag: latest latest: Pulling from library/ubuntu 6b98dfc16071: Pull complete 4001a1209541: Pull complete 6319fc68c576: Pull complete b24603670dc3: Pull complete 97f170c87c6f: Pull complete Digest: sha256:5f4bdc3467537cbbe563e80db2c3ec95d548a9145d64453b06939c4592d67b6d Status: Downloaded newer image for ubuntu:latest

      Nach dem Herunterladen eines Bildes, können Sie mit dem Unterbefehl run einen Container mit dem heruntergeladenen Bild ausführen. Wie Sie im hello-world -Beispiel gesehen haben, wenn ein Bild nicht heruntergeladen wurde und docker mit dem Unterbefehl run gestartet wird, lädt der Docker-Client zuerst das Bild herunter und verwendet es dann als Container.

      Um die Bilder anzuzeigen, die auf Ihren Computer heruntergeladen wurden, geben Sie Folgendes ein:

      Die Meldung sollte wie folgt aussehen:

      Output

      REPOSITORY TAG IMAGE ID CREATED SIZE ubuntu latest 113a43faa138 4 weeks ago 81.2MB hello-world latest e38bc07ac18e 2 months ago 1.85kB

      Wie Sie später in diesem Tutorial sehen werden, können Bilder, die Sie zum Ausführen von Containern verwenden, modifiziert und zum Erzeugen neuer Bilder verwendet werden, die dann in den Docker Hub oder andere Docker-Verzeichnisse hochgeladen werden können (pushed ist der Fachbegriff).

      Schauen wir uns genauer an, wie Container ausgeführt werden können.

      Schritt 5 — Ausführen eines Docker-Containers

      Der hello-world -Container, den Sie im vorigen Schritt ausgeführt haben, ist ein Beispiel für einen Container, der nach dem Senden einer Testnachricht läuft und beendet wird. Container können viel nützlicher sein als das, und sie können auch interaktiv sein. Schließlich sind sie ähnlich wie virtuelle Maschinen, nur ressourcenschonender.

      Betrachten wir als Beispiel einen Container mit dem neuesten Bild von Ubuntu. Die Kombination der Schalter -i und -termöglicht Ihnen den interaktiven Shell-Zugriff auf den Container:

      Die Eingabeaufforderung sollte sich entsprechend der Tatsache ändern, dass Sie nun innerhalb des Containers arbeiten, und sollte diese Form annehmen:

      Output

      root@d9b100f2f636:/#

      Notieren Sie sich die Container-ID in der Eingabeaufforderung. In diesem Beispiel ist es d9b100f2f636. Sie benötigen diese Container-ID später, zum Identifizieren des Containers, wenn Sie ihn entfernen möchten.

      Jetzt können Sie jeden beliebigen Befehl innerhalb des Containers ausführen. Aktualisieren wir zum Beispiel die Paketdatenbank im Container. Sie müssen keinen Befehl mit sudo voranstellen, da Sie innerhalb des Containers als Root-Benutzer arbeiten:

      Installieren Sie dann eine beliebige Applikation darin. Installieren wir Node.js:

      Node.js wird dann im Container aus dem offiziellen Ubuntu-Repository installiert. Wenn die Installation abgeschlossen ist, überprüfen Sie, ob Node.js installiert ist:

      Die Versionsnummer wird in Ihrem Terminal angezeigt:

      Output

      v8.10.0

      Alle Änderungen, die Sie innerhalb des Containers vornehmen, gelten nur für diesen Container.

      Um den Container zu verlassen, geben Sie im Eingabefeld exit ein.

      Als nächstes wollen wir uns die Verwaltung der Container auf unserem System ansehen.

      Schritt 6 — Verwalten von Docker-Containern

      Nachdem Sie Docker eine Weile benutzt haben, haben Sie viele aktive (laufende) und inaktive Container auf Ihrem Computer. Um die active ones anzuzeigen, verwenden Sie:

      Sie werden die folgende Meldung sehen:

      Output

      CONTAINER ID IMAGE COMMAND CREATED

      In diesem Tutorial haben Sie zwei Container gestartet, einen aus dem hello-world -Bild und einen weiteren aus dem ubuntu -Bild. Beide Container sind nicht mehr aktiv, aber noch auf Ihrem System vorhanden.

      Um alle Container — aktive und inaktive — anzuzeigen, starten Sie docker ps mit dem Schalter -a:

      Sie werden folgende Meldung sehen:

      d9b100f2f636        ubuntu              "/bin/bash"         About an hour ago   Exited (0) 8 minutes ago                           sharp_volhard
      01c950718166        hello-world         "/hello"            About an hour ago   Exited (0) About an hour ago                       festive_williams
      
      

      Den zuletzt erstellten Container mit dem Schalter-l anzeigen:

      • CONTAINER ID IMAGE COMMAND CREATED STATUS PORTS NAMES
      • d9b100f2f636 ubuntu "/bin/bash" About an hour ago Exited (0) 10 minutes ago sharp_volhard

      Um einen gestoppten Container zu starten, verwenden Sie docker start, gefolgt von der Container-ID oder dem Namen des Containers. Starten wir den Ubuntu-basierten Container mit folgender ID, d9b100f2f636:

      • docker start d9b100f2f636

      Der Container wird gestartet, und Sie können mit docker ps den Status anzeigen:

      CONTAINER ID        IMAGE               COMMAND             CREATED             STATUS              PORTS               NAMES
      d9b100f2f636        ubuntu              "/bin/bash"         About an hour ago   Up 8 seconds                            sharp_volhard
      
      

      Um einen aktiven Container zu stoppen, verwenden Sie docker stop, gefolgt von der Container-ID oder dem Namen. Diesmal verwenden wir den Namen, den Docker dem Container zugewiesen hat, sharp_volhard:

      • docker stop sharp_volhard

      Sobald Sie entschieden haben, dass Sie einen Container nicht mehr benötigen, entfernen Sie ihn mit dem Befehl docker rm wiederum entweder mit der Container-ID oder dem Namen. Verwenden Sie den Befehl docker ps -a um die Container-ID oder den Namen für den Container zu finden, der dem hello-world-Bild zugeordnet ist, und entfernen Sie ihn.

      • docker rm festive_williams

      Sie können einen neuen Container starten und ihm mit dem Schalter --name einen Namen geben. Sie können den Schalter --rm auch verwenden, um einen Container zu erstellen, der sich selbst entfernt, wenn er gestoppt wird. Weitere Informationen zu diesen und anderen Optionen finden Sie unter dem Befehl docker run help.

      Container können in Bilder umgewandelt werden, mit denen Sie neue Container erstellen können. Schauen wir uns an, wie das funktioniert.

      Schritt 7 — Änderungen in einem Container auf ein Docker-Bild übertragen

      Wenn Sie ein Docker-Bild starten, können Sie Dateien erstellen, ändern und löschen, wie Sie es von einer virtuellen Maschine gewohnt sind. Die von Ihnen vorgenommenen Änderungen gelten nur für diesen Container. Sie können es starten und stoppen, aber sobald Sie es mit dem Befehl docker rm zerstören, gehen die Änderungen für immer verloren.

      In diesem Abschnitt erfahren Sie, wie Sie den Zustand eines Containers als neues Docker-Bild speichern können.

      Nachdem Sie Node.js innerhalb des Ubuntu-Containers installiert haben, haben Sie nun einen Container, der unter einem Bild läuft, aber der Container unterscheidet sich von dem Bild, mit dem Sie es erstellt haben. Aber vielleicht möchten Sie diesen Node.js-Container als Grundlage für neue Bilder später wiederverwenden.

      Übertragen Sie dann die Änderungen mit dem folgenden Befehl in eine neue Docker-Bildinstanz.

      • docker commit -m "What you did to the image" -a "Author Name" container_id repository/new_image_name

      Der Schalter -m ist für die Bestätigungsnachricht, um zu erfahren, welche Änderungen Sie vorgenommen haben, während -a zur Autorenangabe verwendet wird. Die container_id ist diejenige, die Sie zuvor im Tutorial notiert haben, als Sie die interaktive Docker-Sitzung gestartet haben. Sofern Sie keine zusätzlichen Repositories auf dem Docker Hub erstellt haben, ist das repository in der Regel Ihr Docker Hub-Benutzername.

      So wäre beispielsweise für den Benutzer sammymit der Container-ID d9b100f2f636 der Befehl:

      • docker commit -m "added Node.js" -a "sammy" d9b100f2f636 sammy/ubuntu-nodejs

      Wenn Sie ein Bild commit (übertragen), wird das neue Bild lokal auf Ihrem Computer gespeichert. Später erfahren Sie in diesem Tutorial, wie Sie ein Bild in ein Docker-Verzeichnis wie Docker Hub verschieben können, damit andere darauf zugreifen können.

      Wenn Sie die Docker-Bilder erneut auflisten, wird das neue Bild angezeigt, ebenso wie das alte, von dem es abgeleitet wurde:

      Sie werden eine ähnliche Meldung sehen:

      Output

      REPOSITORY TAG IMAGE ID CREATED SIZE sammy/ubuntu-nodejs latest 7c1f35226ca6 7 seconds ago 179MB ubuntu latest 113a43faa138 4 weeks ago 81.2MB hello-world latest e38bc07ac18e 2 months ago 1.85kB

      In diesem Beispiel ist ubuntu-nodejs das neue Bild, das aus dem bestehenden ubuntu -Bild von Docker Hub abgeleitet wurde. Die Größendifferenz spiegelt die vorgenommenen Änderungen wider. Und in diesem Beispiel war die Änderung, dass NodeJS installiert wurde. Wenn Sie also das nächste Mal einen Container mit Ubuntu mit vorinstalliertem NodeJS ausführen müssen, können Sie einfach das neue Bild verwenden.

      Sie können auch Bilder aus einer Dockerfile erstellen, mit der Sie die Softwareinstallation in einem neuen Bild automatisieren können. Das liegt jedoch außerhalb des Rahmens dieses Tutorials.

      Teilen wir nun das neue Bild mit anderen, damit sie daraus Container erstellen können.

      Schritt 8 — Verschieben von Docker-Bildern in ein Docker-Repository

      Der nächste logische Schritt nach der Erstellung eines neuen Bildes aus einem bestehenden Bild besteht darin, es mit einigen Ihrer Freunde, der ganzen Welt auf Docker Hub oder einem anderen Docker-Verzeichnis, auf das Sie Zugriff haben, zu teilen. Um ein Bild auf Docker Hub oder einem anderen Docker-Verzeichnis zu übertragen, ist ein Konto erforderlich.

      Dieser Abschnitt zeigt Ihnen, wie Sie ein Docker-Bild auf den Docker Hub übertragen können. Um zu lernen, wie Sie Ihr eigenes privates Docker-Verzeichnis erstellen, gehen Sie auf Wie Sie ein privates Docker-Verzeichnis unter Ubuntu 14.04 einrichten.

      Um Ihr Bild zu optimieren, melden Sie sich zunächst bei Docker Hub an.

      • docker login -u docker-registry-username

      Sie werden aufgefordert, sich mit Ihrem Docker Hub-Passwort zu authentifizieren. Die Authentifizierung sollte erfolgreich sein, wenn Sie das richtige Passwort angegeben haben.

      Hinweis: Wenn sich Ihr Docker-Registrierungsbenutzername von dem lokalen Benutzernamen unterscheidet, den Sie zum Erstellen des Bildes verwendet haben, müssen Sie Ihr Bild mit Ihrem Registrierungsbenutzernamen versehen. Für das im letzten Schritt angegebene Beispiel würden Sie Folgendes eingeben:

      • docker tag sammy/ubuntu-nodejs docker-registry-username/ubuntu-nodejs

      Dann können Sie Ihr eigenes Bild mit dem Befehl Übertragen verwenden:

      • docker push docker-registry-username/docker-image-name

      Um das ubuntu-nodejs-Bild in das sammy Repository zu schieben, wäre der Befehl:

      • docker push sammy/ubuntu-nodejs

      Der Prozess kann einige Zeit in Anspruch nehmen, während er die Bilder hochlädt, aber wenn er abgeschlossen ist, erscheint folgende Meldung:

      Output

      The push refers to a repository [docker.io/sammy/ubuntu-nodejs] e3fbbfb44187: Pushed 5f70bf18a086: Pushed a3b5c80a4eba: Pushed 7f18b442972b: Pushed 3ce512daaf78: Pushed 7aae4540b42d: Pushed ...

      Nachdem Sie ein Bild in ein Verzeichnis verschoben haben, sollte es im Dashboard Ihres Kontos aufgelistet werden, wie es in der Abbildung unten angezeigt wird.

      Neue Docker-Bildliste auf dem Docker Hub

      Wenn ein Übertragungsversuch zu einem solchen Fehler führt, haben Sie sich wahrscheinlich nicht angemeldet:

      Output

      The push refers to a repository [docker.io/sammy/ubuntu-nodejs] e3fbbfb44187: Preparing 5f70bf18a086: Preparing a3b5c80a4eba: Preparing 7f18b442972b: Preparing 3ce512daaf78: Preparing 7aae4540b42d: Waiting unauthorized: authentication required

      Melden Sie sich mit dem docker login an und wiederholen Sie den Übertragungsversuch. Überprüfen Sie dann, ob es auf Ihrer Docker Hub Repository-Seite vorhanden ist.

      Sie können nun mit docker pull sammy/ubuntu-nodejs das Bild auf eine neue Maschine ziehen und damit einen neuen Container ausführen.

      Fazit

      In diesem Tutorial haben Sie Docker installiert, mit Bildern und Containern gearbeitet und ein modifiziertes Bild in den Docker Hub verschoben. Nachdem Sie nun die Grundlagen kennen, erkunden Sie die anderen Docker-Tutorials in der DigitalOcean Community.



      Source link

      So installieren Sie MySQL auf Ubuntu 18.04


      Eine Vorgängerversion dieses Tutorials wurde von Hazel Virdó verfasst

      Einführung

      MySQL ist ein quelloffenes Datenbankmanagementsystem, das häufig als Teil des beliebten LAMP-Stacks (Linux, Apache, MySQL, PHP/Python/Perl) installiert wird. Zur Verwaltung seiner Daten verwendet es eine relationale Datenbank und SQL (Strukturierte Abfragesprache).

      Die Kurzversion der Installation ist einfach: Aktualisieren Sie Ihren Paketindex, installieren Sie das mysql-server-Paket und führen Sie dann das mitgelieferte Sicherheitsskript aus.

      • sudo apt update
      • sudo apt install mysql-server
      • sudo mysql_secure_installation

      Dieses Tutorial erklärt, wie Sie die MySQL-Version 5.7 auf einem Ubuntu 18.04-Server installieren. Wenn Sie jedoch eine bestehende MySQL-Installation auf Version 5.7 aktualisieren möchten, können Sie stattdessen diesen MySQL 5.7-Updateleitfaden lesen.

      Voraussetzungen

      Um diesem Tutorial folgen zu können, benötigen Sie Folgendes:

      • Einen Ubuntu 18.04-Server, der gemäß diesem Installationshandbuch eingerichtet wurde, einschließlich eines Nicht-Root-Benutzers mit sudo-Rechten und einer Firewall.

      Schritt 1 – MySQL installieren

      In Ubuntu 18.04 ist standardmäßig nur die neueste Version von MySQL im APT-Paket-Repository enthalten. Zum Zeitpunkt der Erstellung ist das MySQL 5.7.

      Aktualisieren Sie zur Installation den Paketindex auf Ihrem Server mit apt:

      Installieren Sie dann das Standardpaket:

      • sudo apt install mysql-server

      Dadurch wird MySQL installiert, aber Sie werden nicht aufgefordert, ein Passwort festzulegen oder andere Konfigurationsänderungen vorzunehmen. Da Ihre MySQL-Installation dadurch unsicher wird, werden wir uns zunächst damit befassen.

      Schritt 2 — MySQL konfigurieren

      Bei Neuinstallationen sollten Sie das mitgelieferte Sicherheitsskript ausführen. Dies ändert einige der weniger sicheren Standardoptionen für Dinge wie Remote-Root-Logins und Musterbenutzer. Bei älteren MySQL-Versionen mussten Sie das Datenverzeichnis auch manuell initialisieren, aber das erfolgt jetzt automatisch.

      Führen Sie das Sicherheitsskript aus:

      • sudo mysql_secure_installation

      Dies führt Sie durch eine Reihe von Eingabeaufforderungen, in denen Sie einige Änderungen an den Sicherheitsoptionen Ihrer MySQL-Installation vornehmen können. Die erste Eingabeaufforderung fragt, ob Sie das validierte Passwort-Plugin einrichten möchten, mit dem Sie die Stärke Ihres MySQL-Passworts testen können. Unabhängig von Ihrer Wahl wird die nächste Eingabeaufforderung darin bestehen, ein Passwort für den MySQL-Root-Benutzer festzulegen. Geben Sie ein sicheres Passwort Ihrer Wahl ein und bestätigen Sie es anschließend.

      Von dort aus können Sie Y und dann ENTER drücken, um die Standardwerte für alle folgenden Fragen zu übernehmen. Dadurch werden einige anonyme Benutzer und die Testdatenbank entfernt, Remote-Root-Logins deaktiviert und diese neuen Regeln geladen, so dass MySQL die von Ihnen vorgenommenen Änderungen sofort berücksichtigt.

      Um das MySQL-Datenverzeichnis zu initialisieren, verwenden Sie mysql_install_db für Versionen vor 5.7.6 und mysqld --initialize für 5.7.6 und später. Wenn Sie jedoch MySQL aus der Debian-Distribution installiert haben, wie in Schritt 1 beschrieben, wurde das Datenverzeichnis automatisch initialisiert; Sie müssen nichts tun. Wenn Sie versuchen, den Befehl trotzdem auszuführen, wird folgender Fehler angezeigt:

      Output

      mysqld: Can't create directory '/var/lib/mysql/' (Errcode: 17 - File exists)
      . . .
      2018-04-23T13:48:00.572066Z 0 [ERROR] Aborting
      

      Beachten Sie, dass, obwohl Sie ein Passwort für den MySQL-Root-Benutzer festgelegt haben, dieser nicht konfiguriert ist, um sich bei der Verbindung mit der MySQL-Shell mit einem Passwort zu authentifizieren. Bei Bedarf können Sie diese Einstellung anpassen, indem Sie Schritt 3 folgen.

      Schritt 3 — (optional) Einstellen der Benutzerauthentifizierung und der Berechtigungen

      In Ubuntu-Systemen mit MySQL 5.7 (und neueren Versionen) ist der MySQL-Root-Benutzer so eingestellt, dass er sich standardmäßig mit dem auth_socket-Plugin und nicht mit einem Passwort authentifiziert. Dies ermöglicht in vielen Fällen eine höhere Sicherheit und Benutzerfreundlichkeit, kann aber auch die Sache erschweren, wenn Sie einem externen Programm (z.B. phpMyAdmin) den Zugriff auf den Benutzer ermöglichen müssen.

      Um ein Passwort für die Verbindung zu MySQL als root zu verwenden, müssen Sie die Authentifizierungsmethode von auth_socket auf mysql_native_password umstellen. Öffnen Sie dazu die MySQL-Eingabeaufforderung Ihres Terminals:

      Als nächstes überprüfen Sie mit folgendem Befehl, welche Authentifizierungsmethode jedes Ihrer MySQL-Benutzerkonten verwendet:

      • SELECT user,authentication_string,plugin,host FROM mysql.user;

      Output

      +------------------+-------------------------------------------+-----------------------+-----------+ | user | authentication_string | plugin | host | +------------------+-------------------------------------------+-----------------------+-----------+ | root | | auth_socket | localhost | | mysql.session | *THISISNOTAVALIDPASSWORDTHATCANBEUSEDHERE | mysql_native_password | localhost | | mysql.sys | *THISISNOTAVALIDPASSWORDTHATCANBEUSEDHERE | mysql_native_password | localhost | | debian-sys-maint | *CC744277A401A7D25BE1CA89AFF17BF607F876FF | mysql_native_password | localhost | +------------------+-------------------------------------------+-----------------------+-----------+ 4 rows in set (0.00 sec)

      In diesem Beispiel sehen Sie, dass der Root-Benutzer sich tatsächlich mit dem Plugin auth_socket authentifiziert. Um das Root-Konto für die Authentifizierung mit einem Passwort zu konfigurieren, führen Sie den folgenden Befehl ALTER USER aus. Achten Sie darauf, password in ein starkes Passwort Ihrer Wahl zu ändern, und beachten Sie, dass dieser Befehl das Root-Passwort ändert, das Sie in Schritt 2 festgelegt haben:

      • ALTER USER 'root'@'localhost' IDENTIFIED WITH mysql_native_password BY 'password';

      Führen Sie dann FLUSH PRIVILEGES aus, wodurch der Server angewiesen wird, die Berechtigungstabellen neu zu laden und die neuen Änderungen umzusetzen:

      Überprüfen Sie die von jedem Ihrer Benutzer verwendeten Authentifizierungsmethoden erneut, um sicherzustellen, dass root sich nicht mehr mit dem auth_socket-Plugin authentifiziert:

      • SELECT user,authentication_string,plugin,host FROM mysql.user;

      Output

      +------------------+-------------------------------------------+-----------------------+-----------+ | user | authentication_string | plugin | host | +------------------+-------------------------------------------+-----------------------+-----------+ | root | *3636DACC8616D997782ADD0839F92C1571D6D78F | mysql_native_password | localhost | | mysql.session | *THISISNOTAVALIDPASSWORDTHATCANBEUSEDHERE | mysql_native_password | localhost | | mysql.sys | *THISISNOTAVALIDPASSWORDTHATCANBEUSEDHERE | mysql_native_password | localhost | | debian-sys-maint | *CC744277A401A7D25BE1CA89AFF17BF607F876FF | mysql_native_password | localhost | +------------------+-------------------------------------------+-----------------------+-----------+ 4 rows in set (0.00 sec)

      Sie können in diesem Beispiel sehen, dass sich der MySQL-Benutzer root nun mit einem Passwort authentifiziert. Sobald Sie dies auf Ihrem eigenen Server bestätigt haben, können Sie die MySQL-Shell verlassen:

      Alternativ dazu finden einige vielleicht, dass es besser zu ihrem Workflow passt, sich mit einem bestimmten Benutzer mit MySQL zu verbinden. Um einen solchen Benutzer anzulegen, öffnen Sie die MySQL-Shell erneut:

      Hinweis: Wenn Sie die Passwortauthentifizierung für root aktiviert haben, wie in den vorigen Abschnitten beschrieben, müssen Sie einen anderen Befehl verwenden, um auf die MySQL-Shell zuzugreifen. Im Folgenden wird Ihr MySQL-Client mit regulären Benutzerrechten ausgeführt, und Sie erhalten nur durch Authentifizierung Administratorrechte innerhalb der Datenbank:

      Erstellen Sie von dort aus einen neuen Benutzer und geben ihm ein sicheres Passwort:

      • CREATE USER 'sammy'@'localhost' IDENTIFIED BY 'password';

      Gewähren Sie Ihrem neuen Benutzer dann die entsprechenden Berechtigungen. Beispielsweise können Sie mit diesem Befehl die Benutzerrechte für alle Tabellen innerhalb der Datenbank sowie die Berechtigung zum Hinzufügen, Ändern und Entfernen von Benutzerrechten erteilen:

      • GRANT ALL PRIVILEGES ON *.* TO 'sammy'@'localhost' WITH GRANT OPTION;

      Beachten Sie, dass Sie an dieser Stelle den Befehl FLUSH PRIVILEGES nicht erneut ausführen müssen. Dieser Befehl wird nur benötigt, wenn Sie die Berechtigungstabellen mit Anweisungen wie INSERT, UPDATE oder DELETE ändern. Da Sie einen neuen Benutzer angelegt haben und keinen bestehenden ändern, ist FLUSH PRIVILEGES hier nicht erforderlich.

      Danach verlassen Sie die MySQL-Shell:

      Abschließend testen wir die MySQL-Installation.

      Schritt 4 — MySQL testen

      Unabhängig davon, wie Sie es installiert haben, sollte MySQL automatisch gestartet sein. Um dies zu testen, überprüfen Sie den Status.

      • systemctl status mysql.service

      Sie werden folgende Meldung sehen:

      Output

      ● mysql.service - MySQL Community Server
         Loaded: loaded (/lib/systemd/system/mysql.service; enabled; vendor preset: en
         Active: active (running) since Wed 2018-04-23 21:21:25 UTC; 30min ago
       Main PID: 3754 (mysqld)
          Tasks: 28
         Memory: 142.3M
            CPU: 1.994s
         CGroup: /system.slice/mysql.service
                 └─3754 /usr/sbin/mysqld
      

      Wenn MySQL nicht ausgeführt wird, können Sie es mit sudo systemctl start mysql starten.

      Für eine zusätzliche Überprüfung können Sie versuchen, sich mit der Datenbank zu verbinden, indem Sie das Tool mysqladmin verwenden, ein Client, mit dem Sie administrative Befehle ausführen können. Dieser Befehl besagt beispielsweise, sich als root (-u root) mit MySQL zu verbinden, ein Passwort (-p) einzugeben und die Version zurückzugeben.

      • sudo mysqladmin -p -u root version

      Sie sollten folgende Meldung sehen:

      Output

      mysqladmin  Ver 8.42 Distrib 5.7.21, for Linux on x86_64
      Copyright (c) 2000, 2018, Oracle and/or its affiliates. All rights reserved.
      
      Oracle is a registered trademark of Oracle Corporation and/or its
      affiliates. Other names may be trademarks of their respective
      owners.
      
      Server version      5.7.21-1ubuntu1
      Protocol version    10
      Connection      Localhost via UNIX socket
      UNIX socket     /var/run/mysqld/mysqld.sock
      Uptime:         30 min 54 sec
      
      Threads: 1  Questions: 12  Slow queries: 0  Opens: 115  Flush tables: 1  Open tables: 34  Queries per second avg: 0.006
      

      Das bedeutet, dass MySQL ausgeführt wird.

      Fazit

      Sie haben nun einen MySQL-Basissetup auf Ihrem Server installiert. Hier sind einige Beispiele für die nächsten Schritte, die Sie unternehmen können:



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